Il vous a pleu, par Clemence et pitié,
De consoler vostre païs de Bresse
En luy ostant de l’impos la moitié
Dont
feu Merlan l’avoit mis en destresse :
Considerant que qui trop son drap presse
Souventesfois il le romp et dessire,
Dont, tant que puy, vous remercie,
Sire,
Et loüe Dieu que vostre cœur nous rit.
La mousche rend tous les ans miel et cire,
Qui doulcement l’entretient et nourrit.